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Adepte de la réplique qui fait mouche, Michel Audiard est certainement le plus célèbre des dialoguistes du cinéma français.
Il débute sa carrière en 1949, et atteint rapidement la renommée et la célébrité, qu’il conservera jusqu’à son dernier film en1985. Entre les deux, il fait parler Lino Ventura (Les Tontons flingueurs), Bernard Blier (Le Président), Mireille Darc (Les Barbouzes), Jean-Paul Belmondo (Un singe en hiver), Alain Delon (Mélodie en sous-sol) et bien évidemment Jean Gabin, avec qui il collabora à 20 reprises, dont les classiques Le Pacha, Le Cave se rebiffe, Le Gentleman d’Epsom ou encore Un singe en hiver.
Mais Michel Audiard s’essaya aussi à la réalisation, et ce dès Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages en 1968. Ce sera le premier d’une poignée de films fous et surréalistes, à l’image de leurs interminables titres, à l’instar de Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais… elle cause.
Au total, Audiard laisse une œuvre cinématographique de plus d’une centaine de longs-métrages, qui continuent encore aujourd’hui d’être admirés et cités en référence.
À l’occasion du centenaire de la naissance de Michel Audiard, Gaumont Vidéo est fier de proposer une anthologie de ses meilleures contributions – dont l’inédit Quai des blonde, pour la première fois sur support vidéo – accompagnées d’un documentaire original, « Le Terminus des prétentieux »