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Dans les années 70, entre La Nuit des morts-vivants et Zombie, deux classiques matriciels du cinéma de genre, George A. Romero réalise There’s Always Vanilla, Season of the Witch et The Crazies. Trois œuvres cohérentes dans ce qu'elles dépeignent des Etats-Unis, mais radicalement différente de l'univers marqué que l'on connaît du maître de l'horreur. Trois œuvres qui se révèlent par leurs sujets, encore plus aujourd'hui, d'actualité. There’s Always Vanilla, pose un regard féministe et moderne sur la société américaine ; masculiniste et étriquée. Season of the Witch est un pamphlet acide des mœurs de la petite bourgeoisie dans la banlieue de Pittsburgh toujours durant les seventies. The Crazies nous entraîne au cœur d'une pandémie face à laquelle les autorités peinent à convaincre le président de la situation gravissime dans laquelle ils se trouvent…